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« La photo et le pinceau comme seules armes » intègre l’Institut du monde arabe

  • Stéphane
  • 22 juil.
  • 1 min de lecture

Le film réalisé part Yohan Laffort dont j’a eu la chance de faire les images et le montage intègre les collections de l’Institut du Monde Arabe.

Résumé du film

En 1958, en pleine Guerre d’Algérie, Claude, 23 ans, est appelé et affecté à proximité d’un village chaoui perdu dans les Aurès. Refusant de porter les armes il y est nommé instituteur, et pendant deux ans il noue avec ses élèves et les habitants, qu’il photographie et dessine patiemment, de solides liens d’amitié et de confiance, dont certains perdureront après la fin de la guerre. Soixante ans plus tard, Claude voulait retourner dans ce village à la rencontre de ses anciens élèves et de la nouvelle génération de Chaouis, en s’appuyant sur ses photos et dessins pour confronter ses souvenirs à l’Histoire récente de l’Algérie, depuis l’indépendance.

Ce film ambitieux n’aura pu se réaliser faute de budget.

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